DAVID LE GLANAËR :

DIRECTEUR ASSOCIÉ DU GROUPE SYD CONSEIL 

Le 23/02/2016

David LE GLANAËR, vous êtes directeur associé du Groupe SYD Conseil (100 salariés) et vous faites partie du Comité de Pilotage Prospectives du Centre des Jeunes Dirigeants d’entreprise (CJD) et Directeur. Vous revenez dans cet ITW sur ce qu’est le CJD et ce que vous faites. Vous nous racontez la manière singulière avec laquelle vous abordez la prospective au CJD, comment vous-même vous l’abordez dans votre entreprise et enfin ce que vous souhaitez venir partager avec nous sur la plénière du forum RESET ? 

Le CJD qu’est-ce que c’est ?

La plus vielle association patronale de France. Fondée en 1938 avec la ferme résolution de mettre l’économie au service de l’Homme. Elle se divise en près de 120 association locales sur toute la France appelées section. Elle comprend aujourd’hui près de 4 500 dirigeants et compte plus de 40 000 dirigeants encore en exercice qui sont passés par ces rangs.

Qui êtes-vous ? 

J’ai co-créé SYD Conseil, entreprise d’intégration de Progiciels de Gestion d’Entreprise et de la Relation Client, et de conseil en transformation d’Entreprise (Business Model, Process, Infra-structures) à destination des Grands compte avec Yann Trichard, mon associé depuis 17 ans et compte aujourd’hui une centaine de collaborateurs.

SYD Conseil est implanté à Nantes, Paris et Rennes.

Y a-t-il une manière singulière d’aborder la prospective au CJD ?

Un des piliers du CJD est l’expérimentation. Nous sommes d’avantage un « Do tank » qu’un « Think Tank ». Nous avons donc choisi une manière originale pour travailler sur ce domaine si important pour nos entreprises. Notre démarche passe par l’intime. En effet, nous avons choisi une démarche qui prépare à identifier les signaux faible avec une approche basée sur le sensible 

Vous-même, comment l’appliquez-vous dans votre entreprise ?

Beaucoup de nos clients sont dans la crainte aujourd’hui de se faire « digitaliser »/ « Uberiser » c’est à dire de voir arriver un nouvel acteur avec une offre très alternative qui emporte son marché. Notre démarche est donc de les aider à transformer leurs process voire leur business model. Nous savons ainsi que la prospective ne peut se faire « en chambre « mais dans un contexte d’usage et dans une relation de proximité et de confiance avec nos clients.

Vous serez présent à notre plénière du 8 mars, pour nous dire quoi ?

Pour dire et illustrer avec des exemples concrets notamment que la transformation des business models est parfaitement compatible avec les exigences RSE et doivent l’être pour la performance globale de nos entreprises et de nos projets.

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