Il est des entreprises qui recrutent aujourd’hui pour faire face aux défis de cette pandémie.
 Confinés, il nous faut pouvoir continuer à commander en ligne, des produits de première nécessité mais aussi de loisirs, de technologie, pour rester vivants, pensants, connectés. Il nous faut nourrir nos familles, remplir nos placards, continuer à assurer nos besoins quotidiens. Il nous faut de la sécurité, des soins. Mais à quel prix ? Les commerces alimentaires ont-ils mis en oeuvre les moyens de protéger leur personnel ?Amazon augmente les salaires, recrute 100.000 personnes aux USA et promet de verser jusqu’à deux semaines de salaire à ses employés contaminés par le nouveau coronavirus ou placés en quarantaine. Mais dans le même temps, en France, les salariés débrayent faute de respect des règles des distances de sécurité, d’équipements de protection et de gel hydroalcoolique… Et Amazon exercerait des pressions « inacceptables » sur ses salariés en les privant de salaire s’ils refusent de venir travailler à cause de l’épidémie de coronavirus, selon le ministre de l’Economie Bruno Le Maire.

Les travailleurs précaires de la nouvelle économie du service sont au coeur de la crise. En France, si Frichti, UberEats et Deliveroo proposent une option de «livraison sans contact» qui consiste à déposer une commande devant une porte pour éviter toute interaction humaine, les livreurs n’ont pas le choix, c’est le client qui décide….